Aujourd'hui je m'intéresse à une voiture Brochet Roco. Celle-ci ayant au point de vue assemblage de nombreux points communs avec les modèles précedemment étudiés, je ne parlerai donc que des particularités propres aux voitures Brochet.

Le chassis est encliqueté dans la caisse, du déjà vu.

Le bloc redresseur prendra place dans les toilettes, le trou d'origine arrive à point nommé pour le passage des fils. A noter que j'aimerais voir la tête du voyageur "pressé" lorsqu'il va ouvrir la porte. Installation des voyageurs, raccordement final des composants; et l'on referme le tout, ce qui donne :

Pour séparer toit+vitrage de la caisse, je passe un petit tournevis dans les ouvertures au nombre de 6 que l'on aperçoit en retournant la voiture ; ces ouvertures correspondent à des ergots qui s'encastrent dans le vitrage. Le passage du tournevis permet alors de faire passer le vitrage par dessus les ergots ; on maintient l'espace obtenu grâce à des cure-dents ; on peut alors sortir le toit+vitrage.

Il est bon de savoir que les vitrages ne sont pas encastrés, sympa, non ?

A l'époque, pour me simplifier un eventuel futur démonage, je fais sauter la base des parties de vitrage qui empêche que le tout se séparer inopinément; mais tout tient tès bien comme ça.

Et l'intérieur nous apparaît. J'avais l'intension d'équiper le fourgon d'un ruban de LEDS? Mais tout compte fait, je ne touche à rien, des LEDs auraient donné un éclairage trop luxueux pour un vulgaire fourgon, tandis qu'un ampoule à incandescence donne une lumière plus en rapport avec le véhicule ; de plus pas besoin de redresseur por bénéficier d'un éclairage dans les 2 sens de marche.

Le shéma indique les composants à utiliser

La diode 1 N 4148 ne permet l'éclairage des LEDs rouges q'en marche avant, elles sont protégées par la résistance de 820 Ohms 1/4 Watt.

La résistance (facultative) de 56 Ohms atténue la luminosité de l'ampoule, et enfin, le codensateur de 47 mF 25 V évite le clignotement du à des mauvais contacts.

Voila le résultat.

Je rappelle que TOUS les avis sont les bienvenus, et un commentaire est toujours bon à prendre, c'est le but du blog ; j'attends de connaître vos impreeions avec impatience. Par avance, merci à tous.

Bonjour à tous,

Après un long séjour en léthargie, je me réveille en pleine forme, ou presque avec des projets pleins la tête, cette dernière étant pratiquement vide, il y avait de la place ! J'ai donc pris la décision d'installer un éclairage intérieur à ruban de LEDs dans une voiture Pulmann Jouef d'ancienne génération, c'est à dire raccourcie ou de version "jouet" pour les puristes dont je ne fais pas partie.

Il nous faudra tout d'abord rassembler le matériel nécessaire, à savoir :

• Une voiture Pulmann Jouef raccourcie mais munie de bogies encliquetés et non vissés.
• Une résistance de 1000 ohms,
• Un condensateur électroliyque de 100 micro farads,
• Un pont redresseur,
• Deux lamelles de prise de courant
• Du ruban de LEDs,
• Du fil électrique fin de différentes couleurs, ici rouge, bleu et gris.
• 4 essieux de diamètre 10,5 mm entraxe 25,4 mm et isolé d'un seul côté.

On trouvera ci-dessus le schéma de câblage du dispositif.

Tous les éléments nécessaires à ce travail sont disponibles chez Limousin-Modélisme-Trains ( LMT).

Je commence par changer les essieux des bogies et, afin d'augmenter l'élasticité des flancs, un coup de pince coupante sur les traverses transversales. les bogies reçoivent alors les lamelles de prise de courant conçues spécialement pour ce modèle de bogies. Avant la mise en place, je soude sur chaque lamelle un fin fil électrique qui passera au moment du montage par le trou existant dans l'axe du pivot et qui permettra au fil de pénétrer dand la caisse. 

A propos du changement d'essieux penser à disposer les essieux de chaque bogie dans le même sens afin d'éviter les courts-circuits. les 2 bogies se retrouvant tête-bêche, chacun se retrouve relié à un pôle différent.

Je profite que l'aménagement intérieur pour installer quelques voyageurs qui auront subi une amputation des membres inférieurs, ce qui leur permettra de prendre place, l'espace étant particulièrement réduit, ceci à cause du fait que le modèle est traité au 1/100.

Les lampes étant emmanchées à force, je n'ai pas réussi à les retirer pour effecutuer une mose en peinture, j'ai donc renoncer à cette étape de peur de tout gâcher !

Tout se passe maintenant à l'intérieur du véhicule ; les fils provenant de chaque bogie et correspondant à chaque polarité se retrouvent recouverts par l'aménagement mis en place sans oublier de les faire ressortir par l'espace disponible en bout de couloir. ensuite soudure du redresseur, du condensateur et de la résistance. Le condensateur trouvera sa place dans les toilettes, malheureusement pour les voyageurs !

Dans l'espace disponible je colle 2 éléments de rubans de LEDs réunis ensemble . Ceci est rendu nécessaire par la présence des bossages de fixation. ces éléments sont racccordés à la sortie du redresseur par un fil rouge (+) et un fil bleu (-) ; attention à bien respecter les polarités !

Enfin, je procède à un essai avant remontage final.

Phase finale : l'essai sur la voie.

Mon ami Philippe m'ayant demandé d'être plus bavard sur ma 141 TB tirée d'une 131 TB Hornby, je ne pouvais faire autrement que de lui être agréable (NDLR : qu'est ce qu'il faiut raconter comme hypocrisies pour être considéré !).

Bon, soyons sérieux ; je possédais la 131 TB HOrnby-acHO de toute première génération c'set à dire sans boudin sur l'essieu moteur médian, ce qui donnait une allure plutôt tarte !

J'ai donc décidé s'en faire une 141 TB, mais cela m'a demandé pas mal de travail ; nous sommes en 1962, eh oui, et à cette époque on ne trouvait pas grand choses en pièces détachées.

D'un autre côté je possédais aussi une 141 T Rivarossi dont le train de roues motrices et l'embiellage pouvait convenir. J'ai pu me procurer cet ensemble, roues et embiellage chez un revendeur de la rue de Rivoli à Paris, magasin comme tant d'autres diparu aujourd'hui. De la machine de base, l'ai conservé toute la partie moteur, roue et vis sans fin. J'ai ajouté à tout cela, des roues et essieux d'un tender Fleichmann pour èquiper les bissels.

Je me suis attelé au tracé des pièces à construire qui se trouve être en grand nombre. On trouvera ci-après quelques plans de l'époque qui malheureusement ont subi les ourages du temps et photos elles, plus récentes..

Voici ce qui reste des plans dessinés à l'époque. sur le premier dessin on aperçoit la position de la motorisation et quelques cotes générales. Sur la seconde un aperçu du dessin du chassis complètement refait en plat de laiton 10x1. Figurent aussie l'ébauche des bissels AV et AR

Voici les bissels avant et arrère ; ils sont fixés au chassis par des vis, mais sont isolé de ce dernier car ils servent à la prise de courant sur une lile de rails tandis que les roues motrices  captent le dit courant sur l'autre file.

Sur la photo du haut, on peut voir le bloc cylindres taillé dans un jet de bronze et nanti des attributs réalisés en tube et fil de laiton.

L'article va s'arrêter là pour aujourd'hui, Over-Blog recontrant des problèmes d'insertion d'images, la suite sera publiée plus tard, en espérant des jours meilleurs, on peut rêver !

Après avoir levé la caisse, on a accès aux viscères de la bête ; et là, on s'aperçoit que le câblage est plutôt étrange, la partie centrale est occupée par un paquet de spaghettis de fils raccordés à l'aide de fiches type AMP enfoncés dans des connecteurs en... zamac. Je ne sais pas si le câblage est d'origine, mais j'ai eu la surprise de m'apercevoir que l'un des fils était fait de 3 morceaux mis bout à bout composés de deux verts et un rouge, la soudure reliant les morceaux vert et rouge ayant cédé m'a demandé du temps pour retrouver la bonne solution. A noter que les fiches sont extrèmement fragiles et sautent facilement.

Ceci dit, j'ai rempacé les ampoules éclairant la plaque avant par des LEDs ; j'en ai profité pour percer le toit de cabine d'un trou de 5 mm au droit de chaque LED de façon à éclairer les cabines de conduite

Je n'ai pas pu résister à vous montrer l'attelage Hornby particulièrement discret !

Sur la photo de droite, premiers essais en ligne pour tester l'éclairage.

Je passe ensuite à la décoration des cabines qui consiste en quelques touches de peinture grise pour le pupitre et brune pour les sièges et j'ajoute enfin un conducteur.

Il ne reste plus qu'à refermer le tout.

Un aperçu du résultat, malgré le flou dont je vous demande d'accepter mes excuses, on devine l'écairage du panneau et celui de la cabine de condiute.

Une vidéo prochaine devrait mieux aprécier le résultat, du moins, je l'espère !!